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cafe croisette

Meilleurs Vieux de la Côte d'Azur !

Publié le par Bernard Oheix

En cette année promise à tous les délices alcoolisés (2000 vins), le 1er janvier, rituellement, je me suis rendu en ma plage des Rochers Rouges afin de procéder à ma baignade tout autant traditionnelle. 

Disons le tout net... Le réchauffement climatique est une réalité terrible dont nous percevons les effets tous les jours, un peu plus de part le monde. En Amazonie comme en Australie, autour des pôles, comme nous l'a si brillamment démontré Ségolène, comme dans les terres asséchées du continent africain...  Mais en ce premier mercredi de la nouvelle année, je confirme que le réchauffement climatique n'était pas encore arrivée à La Bocca ! Glacée, l'eau ne nous a pas fait de cadeaux, et ce n'est pas les quelques bulles de champagne ingérées au préalable qui pouvaient me réconforter !

Je dis nous, car étrangement, quelqu'un d'autre se baignait dans mon anse fétiche, se prélassant dans une eau cristalline, tenant à la main, un ouvrage dont je reconnus la caractéristique couverture bleue barrée d'un bandeau rouge !

Oui, l'internationale des lecteurs de Café Croisette venait une nouvelle fois de manifester son extraordinaire emprise médiatique, sa capacité d'adaptation, sa pugnacité, son sens de la provocation ! Ils sont partout, ils se lovent dans les contradictions d'un ultra libéralisme dévastateur, ils s'imposent face à la rigidité d'un système anxiogène, ils font exploser tous les codes de la bienséance en exhibant leur corps aux rayons d'un soleil régénérateur !

Et je peux le prouver ! 

Ce lecteur compulsif de Café croisette a poussé la coquetterie jusqu'à adopter un maillot aux couleurs du livre de ses héros !

Ce lecteur compulsif de Café croisette a poussé la coquetterie jusqu'à adopter un maillot aux couleurs du livre de ses héros !

Déjà, je perçois les commentaires sarcastiques des pisses froids, empêcheurs de prendre du plaisir à une baignade cultivante et régénérante  ! Du style : "-On le connait, c'est le genre de mec a se baigner en août en se prenant en photo et à nous la ressortir en janvier sous couvert de baignade hivernale ! "

Que nenni ! Et je peux in petto le prouver ! Je me suis prémuni de cette charge en prenant une seconde photo qui démontre à l'évidence l'inanité de tels propos !

La voici donc cette preuve irréfutable de la réalité de mon geste héroïque !

Meilleurs Vieux de la Côte d'Azur !

En effet, Alma est un petit bout de chou merveilleux qui vient, après l'adorable Lise, auréoler ma vieillesse. Ma petite fille est née le 27 août, et je ne connaissais pas son nom avant sa naissance !

Bon, vous me direz, d'août à janvier, il y a une marge pour trafiquer l'histoire, mais comment imaginer que je puisse mentir à Alma et à ses grands yeux bleus interrogateurs en trichant ! Impossible !

Je confirme donc que je me suis bien baigné avec un lecteur assidu de Café Croisette en ce 1er janvier 2020... ce qui prouve à l'évidence que Alma est bien un trésor et que Café Croisette est un livre fascinant qui fait oublier toutes les turpitudes d'un monde en folie et d'une eau de mer glacée !

Et donc, que si vous ne l'avez toujours pas lu, il suffit de me le commander et j'aurai un immense plaisir à vous l'envoyer contre la modeste somme de 18€, ce qui n'est pas cher payé pour une plongée dans la Méditerranée et dans l'univers déjanté d'une bande d'amis en train de lutter pour que vive l'amour et l'amitié dans les coulisses du Festival du Film de Cannes !

Bon, je crois que j'ai bien commencé l'année en abusant peut-être de quelques verres de ce vin prémonitoire et vous informe que malgré ce monde en folie aux mains de quelques dictateurs fous, il reste encore la possibilité de rêver d'un monde meilleur... surtout pour que Lise et Alma puissent grandir dans la paix et la sérénité !

Pace e salute à toutes et tous !

 

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Café Croisette... Et pendant ce temps !

Publié le par Bernard Oheix

 

C’est vrai, j’ai, un peu l’impression qu’actuellement, mon blog ne sert qu’à célébrer les fastes d’un Café Croisette flamboyant ! J’avoue tout !

Une poussée d’égo, il fait nul doute, qui en viendrait même à me faire oublier que la canicule de juillet dévore notre temps de vivre, que Julien Alaphilipe à brillé sur le tour de France même s’il n’est pas sur le podium, que la pollution envahit nos terres, nos mers, le ciel, et ronge notre coeur.

Que le pantin Boris Johnson vient rejoindre la cohorte de dirigeants complètement cintrés qui gouvernent le monde… Il fait nul doute qu’aux côtés des Trump, Bolsonaro, Poutine, Erdogan, Orban, Bachar, Salvini et quelques autres… il pourra développer tout à loisir ses thèses d’un Brexit sans accord et continuer à mentir en menant la Grande Bretagne, et par ricochet, une partie de l’Europe, au bord du gouffre !

Pauvre Europe, incapable de se sortir des mailles de quelques technocrates tout puissants, des intérêts divergents de ceux qui veulent l’Europe pour tous mais au bénéfice de quelques-uns et des grandes banques.

Et Angela Merkel qui paye au prix lourd son accueil des migrants et l’ambiguïté de sa politique internationale !

Et Trump toujours, dont la justice américaine inflige une amende record à Face Book mais qui menace de rétorsion les vins d’une France qui ose taxer marginalement les bénéfices des Gaffa sous l’oeil d’une Allemagne tétanisée par l’hypothèse d’une mesure de rétorsion sur ses voitures vendues aux Etats Unis !

Et pendant ce temps l’Iran devient le territoire de tous les dangers sous les coups de boutoirs d’un Trump qui joue avec des allumettes au dessus d’un champ de pétrole, de drones et d’atomes.

Et Bibi qui continue de régner malgré des procès et une justice qui le talonne pour avoir transgressé toutes les règles de la morale politique en s’enrichissant sur le dos des israéliens !

Ils sont tous devenus fous !

Heureusement, on a signé le traité du Ceuta avec le Canada et le Mercosur avec Bolsonaro ! Notre gamelle ultra-libérale est sauvée même si les produits frelatés aux pesticides et aux antibiotiques pourront désormais atterrir en toute légalité dans nos assiettes !

 

Et pendant ce temps, dans un mois de juin frisquet annonçant les grandes chaleurs de juillet, nous avons réalisé un tour de France de nos « potes » en voiture (c’est vrai que j’en ai profité pour vendre à tour de bras notre livre à toutes les haltes !) en plongeant dans les racines de notre beau pays !

Avignon, Nimes, Les Pyrénées, Mimizan, La Rochelle, Fontenay le Comte, Noirmoutier, le Perche, Paris, Bourg en Bresse, Lyon, Grenoble, Manosque et retour à Cannes ! Un road Movie à travers notre hexagone aux charmes désuets !

A ce propos, c’est étonnant mais quand on sort des grands axes et des autoroutes où l’on paye grassement des actionnaires cupides occupés à se gaver sur notre dos avec ces ouvrages construits grâce à nos impôts, la France apparait étrangement vide. Des heures sur des départementales sinuant dans une campagne propre et bien entretenue sans croiser âme qui vive, d’innombrables villages aux volets clos, des magasins affichant des rideaux de fer baissés définitivement sur les espoirs d’une vie meilleure. Un paysage de désolation humaine qui entre en résonance avec la concentration urbaine et les hordes de ceux qui s’accrochent aux mirages des grandes cités !

Et l’on ne pourrait accueillir quelques dizaines de migrants qui redonneraient vie à ces territoires perdus du bout du monde, les repeupleraient et y feraient retentir les rires des enfants dans les cours !

Mais qu’à cela ne tienne, les écoles ferment, les services administratifs disparaissent, les magasins sont en berne et les énarques parisiens continuent de mépriser une réelle politique du territoire pour se concentrer sur leur nombril francilien et les quelques métropoles aux projets fastueux !

 

Bon, j’ai quand même réussi à leur fourguer quelques Café Croisette pour leur permettre de rêver à un monde débarrassé des méchants où l’amour et l’amitié triompheraient !

Et depuis, dédicaces avec Julien à la librairie Masséna à Nice et au Cultura de Cannes Mandelieu, le retour sur notre rivage et les baignades quotidiennes dans une eau d’azur !

Finalement, le pire peut se produire… mais la vie est belle !

 

plus de 40 livres vendus à Cultura, une séance dédicace avec plein de monde pour nous encourager... Le bonheur !

plus de 40 livres vendus à Cultura, une séance dédicace avec plein de monde pour nous encourager... Le bonheur !

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Dédicaces croisées de Café Croisette

Publié le par Bernard Oheix

Il fallait bien que cela arrive ! Après 2 années à travailler (et parfois dans la douleur pour répondre à ceux nombreux qui s'interrogent sur la nature  d'une écriture à 4 mains), depuis la parution de Café Croisette, nous n'avions jamais pu nous retrouver ensemble devant les lecteurs.

Cela sera donc réparé puisque nous allons dédicacer le livre à Nice et à Cannes/Mandelieu les lundi 22 et vendredi 26 juillet.

Les deux auteurs pour le prix d'un ! Une affaire en or !

Dédicaces croisées de Café Croisette

Alors nous vous donnons rendez-vous de 15 à 18 heures pour l'une de ces séances. Si vous estimez et aimez un des auteurs (ou même les deux pardi !), venez nous soutenir, nous donner un peu d'amitié en achetant le livre (ou en le faisant dédicacer si vous l'avez déjà). 

On sera heureux de vous retrouver et de partager un peu de notre bonheur avec vous !

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Et toujours Café Croisette !

Publié le par Bernard Oheix

Après notre tour de France des copains qui nous aura permis de voyager un mois sur les belles routes de nos provinces, retour à la maison pour reprendre le chantier du Café Croisette !!!!

Quoique ce mini tour de la grande boucle aura largement contribué à vendre les derniers exemplaires du 1er tirage !

C'est à Bourg en Bresse que j'ai eu le plaisir d'une dédicace ! Cette ville où j'ai été Directeur de la MJC, au siècle dernier ! Plaisir des retrouvailles !

C'est à Bourg en Bresse que j'ai eu le plaisir d'une dédicace ! Cette ville où j'ai été Directeur de la MJC, au siècle dernier ! Plaisir des retrouvailles !

 Avec Julien, le co-auteur, nous relançons la machine à vendre avec un objet encore amélioré, bandeau rouge en accroche, Et cela marche... Les exemplaires s'envolent, s'arrachent, même si parfois, le concept de Livre de l'été, ce bouquin que nous lisons sur la plage entre deux baignades semble furieusement d'actualité !

Et toujours Café Croisette !

Mais si d'aventure vous venez sur la Côte d'Azur, sachez qu'il y a un coin de paradis où Annie, notre héroïne, faillit perdre la vie. Les Rochers Rouges de La Bocca sont bien présents et gardent une trace du passage des sbires qui attentèrent à sa vie !

Et toujours Café Croisette !

Sinon, vous pouvez trouver le livre au Cultura de Cannes Mandelieu, dans l'excellente librairie Autour des livres à Cannes qui vient de déménager, à Mouans Sartoux, à Bourg en Bresse chez Montbarbon et bien sûr, chez Annie au Bar du Marin à Cannes...et profitez-en pour déguster ses plats mitonnés avec amour ! Vous ne le regretterez pas !

Et si vous êtes trop loin, ou que vous n'avez pas faim, ou que vous vous êtes claquemuré avec un ventilateur pour supporter la canicule, alors il reste Amazon, un petit clic pour de beaux rêves !

Allez, bonne lecture !

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Un... polar, des... Oheix !

Publié le par Bernard Oheix

Bon, il manque Julien sur la photo, le co-auteur retenu sur Paris, mais notre héroïne, Annie est bien présente !

Bon, il manque Julien sur la photo, le co-auteur retenu sur Paris, mais notre héroïne, Annie est bien présente !

Voilà, on trouve ce livre au Bar du Marin à Cannes, entre le plat du jour servi par Gérard et un limoncello offert par la patronne si vous annoncez être lecteur (et fan !) du Café Croisette !

Mais il est aussi dans quelques bonnes librairies (La Saveur des livres à Cannes, Le Merle moqueur à Paris...)

Au Cultura de Cannes Mandelieu nous côtoyons les seigneurs de la littérature....

A Mouans Sartoux, n'hésitez pas à insister lourdement, ils ont bien le livre en stock mais apparemment les vendeuses ne le connaissent pas ! Appelez le patron, il se fera un plaisir de condescendre à vous le vendre !

Il reste pour tous les autres, Amazon, un petit clic et puis s'en va !

Bonne lecture les amis !

Musso, Levy, Bussi et Oheix ! Pas mal non ?

Musso, Levy, Bussi et Oheix ! Pas mal non ?

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Un Festival de Cannes à moitié !

Publié le par Bernard Oheix

 

21 fi

Le Festival 2019

 

21 films au compteur, une misère pour un professionnel de la cinéphilie comme moi ! La moitié de l’an dernier ! Et pour cause…. La sortie du livre Café Croisette avec la pression qui en a découlé, interviews divers et gestion des signatures dans les librairies de Cannes et de ses alentours, et surtout le décès de mon ami Nilda Fernandez qui m’a touché au-delà de ce que l’on peut imaginer….

Alors, je n’oublierai jamais cette 72èmeédition du Festival de Cannes de 2019, pour ces deux évènements, l’un tragique et l’autre inoubliable. Et le 7èmeArt dans tout cela me direz-vous ?

 

Il a continué son bonhomme de chemin par un temps maussade, les écrans se sont illuminés parfois, les discussions dans les files  d’attente ont été riches de rencontres et de passions, les commerçants se sont plaints, les consignes de sécurité ont été de plus en plus voyantes avec même l’imposition d’un nouveau code du « cinéphile responsable » par des irresponsables qui n’aiment pas suffisamment le cinéma pour en aimer les débordements et la passion… mais cela, c’est la vie cannoise d’un Festival où tout est sujet à polémiques et traité avec emphase !

 

À l’heure où le palmarès vient de tomber et au vu du peu de films en compétition que j’ai visionnés (8 seulement !), je me garderai bien, exceptionnellement, de tout commentaire excessif. Disons que Pedro Almodovar est un génie, (mais on le savait déjà), et que sa dernière œuvre Douleur et Gloireest la quintessence de tout ce qu’il a filmé jusqu’à aujourd’hui ! Le prix d’interprétation pour Antonio Banderas me semble le minimum syndical du Jury pour cette interrogation tourmentée sur l’origine de l’acte créatif.

Heureux de la présence des Misérablesdans le palmarès. Ce film de Ladj Ly est un coup de poing dans les idées reçues, une formidable plongée dans les entrailles d’une patrouille de la BAC confrontée à la violence d’une banlieue au bord de l’implosion où tous les garde-fous ont sauté, laissant les individus face à leur solitude. Magnifique !

La palme de la mise en scène vient récompenser les frères Dardenne, pour un film, Le Jeune Ahmed, où un adolescent se radicalise sous la férule d’un Imam et ira jusqu’au bout de ses convictions sans trouver la grâce, bien au contraire ! Antidote à l’intégrisme, il parle de l’aveuglement et de l’impossible retour en arrière pour ceux qui foncent dans les ténèbres des convictions.

Je ne peux que regretter l’absence du Traitre au palmarès. Bellocchio fait un come-back éblouissant avec l’histoire vraie du repenti Tommaso Buscetta qui dénoncera au juge Falcone, le chef Corléanais Mafieux, Toto Riina et plusieurs centaines de cadres de la pieuvre. Le prix de la mise en scène ou un prix spécial du jury aurait été une juste récompense pour cette œuvre majeure du cinéma italien contemporain.

Et je ne peux que louer ce même jury de nous avoir épargné le nouveau pensum de Terence Malick qui réussit à gâcher une superbe histoire de résistance au fascisme à coups d’effets tarte à la crème chantilly, couplés à des voix off envahissantes ésotériques à souhait. Dans Une vie Cachée, Malick se noie dans sa façon de filmer outrancière et nous inflige un cinéma où chaque trait est grossi jusqu’à la saturation, jusqu’à l’indigestion.

Dans les autres sections, deux films venus du Maghreb offrent de belles promesses, avec Adam, de Maryam Touzani (Un Certain Regard) et Le miracle du Saint Inconnu (semaine de la critique).

Dans le premier, une jeune femme à Casablanca, enceinte, cherche du travail et un lieu où se loger. Dans ce pays où le statut des femmes passe par le mari, elle va lutter pour survivre soutenue par Abla, une veuve qui élève sa fille en tenant une petite pâtisserie. Film poignant sur le courage de ces femmes qui luttent au quotidien pour exister et débouchant sur une fin qui laisse ouverte l’acceptation de ce bébé. Magnifique.

Plus bizarre est l’autre film marocain, où un pied cassé enterre le butin de son vol sous un arbre avant de passer de longues années en prison. Quand il en ressortira, il n’aura de cesse de tenter de récupérer son magot ! Las ! Un mausolée au Saint Inconnu a été érigé sur l’emplacement où il a enterré la valise. Plein d’humour, il trace un portrait au vitriol de la société de ce bout de désert, de l’irruption de la modernité, de la permanence des idéaux religieux et des croyances les plus absurdes. A voir absolument !

Autant Jim Jarmush s’est vautré avec son opus sur les zombies The dead don’t die, n’assumant pas le genre et fuyant devant les morts vivants, autant Bertrand Bonello dans Zombi Child trousse une belle histoire esthétisante mais revigorante sur la trace des victimes des rites vaudous en lui donnant une dimension politique et contemporaine. 

Sinon, rajoutons un polar nordique oppressant avec A White, white day de Hylmur Palmason ou dans une Islande noyée sous la brume, un commissaire part sur les traces de sa femme décédée dans un accident de voiture et Port Authority de Danielle Lessovitch qui montre un jeune homme fasciné par une femme Wye qui s’avère être un « trans » dans un New York où la violence contre les homos et la danse sont les supports à un opéra moderne déjanté. Vivarium de Lorcan Finnegan clôturera ma sélection partielle, étrange plongée dans le « non sens », un couple enfermé dans une ville dont ils ne peuvent sortir, en train d’élever un « extraterrestre », qui les dévorera. Amateur de SF morbide et de fantastique, précipitez-vous, l’oppression est au rendez-vous !

 

On va donc attendre le 73èmeFestival du Film, mais en attendant, je vais aller écouter « Nos Fiançailles » de Nilda Fernandez et me souvenir des jours heureux, quand nous pouvions rêver d’un monde plus harmonieux et que son sourire et son timbre si particulier accrochaient des lumières aux couleurs de la vie.

Voila à quoi j'ai passé mon temps au lieu de voir des films dans les salles obscures.... Mais c'était pas mal quand même !

Voila à quoi j'ai passé mon temps au lieu de voir des films dans les salles obscures.... Mais c'était pas mal quand même !

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Café Croisette... au bal du Festival !

Publié le par Bernard Oheix

Café Croisette... au bal du Festival !

En cette veille d'orgie cinématographique, c'est bien de littérature qu'il s'agit... Un livre écrit avec Julien Oheix, sur une ville de Cannes qui se prépare au 72ème Festival du Film, avec une bande de truands et des justiciers qui s'affrontent autour du bien et du mal... À deux jours de la ronde effrénée des amateurs de 7ème Art ! À deux pas du Palais des Festivals ! Sous le regard parfois complice de politiciens pas toujours clairs !

Polar social et humoristique, cette fable démontre à l'évidence que tout est possible dans la capitale du Cinéma, même une cérémonie d'ouverture légèrement perturbée (je vous rappelle que c'est demain !), des gentils et des méchants, une propriétaire de bar au coeur d'or transformée en momie égyptienne, quelques parties de pétanque acharnées et des pastis qui coulent dans des gosiers asséchés !

Mais Cannes, c'est la ville du Cinéma et il y a toujours un happy-end, du moins on l'espère !

Avec le critique de Nice-Matin pour le lancement officiel du livre, Julien est à Paris ! Mais l'aïoli d'Annie sera délicieux !

Avec le critique de Nice-Matin pour le lancement officiel du livre, Julien est à Paris ! Mais l'aïoli d'Annie sera délicieux !

Voilà donc une nouvelle aventure qui commence après 18 mois intense de travail... Le plaisir d'écrire à 4 mains, avec son fils qui plus est, l'extraordinaire sensation au toucher du  grain de la page du livre, cette couverture bleue conçue par Julien, cette communauté éphémère érigée autour de ce projet, Michel Sajn, l'éditeur, Evelyne Pampini, l'attachée de presse, Michèle Nakache, la correctrice, Eric Dervaux l'infographie, Matthias de l'imprimerie Bosshard...

...et déjà les premiers lecteurs !

Pour ceux qui ne peuvent attendre et voudraient se le procurer, vous pouvez toujours me le commander au prix de 18€ plus 4€ de frais de port...

Pour les autres, ils attendront que l'on régle les problèmes de diffusion. On le trouvera dans quelques bonnes librairies où distribué par Amazon...

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